Les salons de tatouage sont-ils populaires en Corée du Sud ?

Le premier exemple connu de tatouage appartient à une momie sud-américaine de 6,000 XNUMX avant JC. Il avait un tatouage de moustache placé sur sa lèvre supérieure pour attirer davantage sa femme vers lui, selon les experts. Aujourd’hui, les tatouages ​​semblent être partout, mais en Corée du Sud, il est toujours illégal pour toute personne autre qu’un médecin agréé d’en appliquer un. Les responsables coréens disent que le processus est une procédure médicale invasive, avec un risque d’hépatite ou d’infection par le VIH à cause d’aiguilles mal stérilisées. Ils soutiennent que ce serait comme permettre à quelqu’un d’effectuer une intervention chirurgicale dans son salon.

L’ensemble des preuves :

Les Sud-Coréens se font toujours tatouer. Ils fréquentent juste des salons clandestins, techniquement illégaux mais largement ignorés par la police.
S’ils sont pris, les tatoueurs sud-coréens risquent des amendes et des peines de prison pour violation des codes de santé publique.
Certains pensent que l’intérêt de la Corée pour les tatouages ​​a explosé en 2003 après que le footballeur Ahn Jung-Hwan, un héros national, ait retiré sa chemise pour révéler un tatouage à l’épaule après un but vainqueur.