Un taux anticipé est un pourcentage de la valeur d’un actif qu’un prêteur utilisera pour déterminer le montant d’un prêt ou d’une marge de crédit pour un emprunteur. En règle générale, le prêteur évaluera la situation financière globale de l’emprunteur, en tenant compte de sa capacité à rembourser le prêt selon les conditions générales standard. Après avoir confirmé la valeur marchande actuelle de l’actif offert en garantie, le prêteur informera alors l’emprunteur de son taux d’avance actuel et du montant maximum pouvant être emprunté. Cette approche permet de minimiser le risque pris par le prêteur, car la garantie est susceptible d’être suffisante pour récupérer la dette en cas de défaut.
Bien que les taux d’avance soient largement basés sur la valeur de l’actif que l’emprunteur souhaite mettre en gage, les prêteurs prendront également en compte d’autres informations financières pertinentes. Cela comprend l’identification de la cote de crédit actuelle du demandeur, le niveau de revenu et le ratio de ce revenu par rapport aux autres titres de créance qui peuvent exister. Si le prêteur détermine que le demandeur est solvable et qu’il a la capacité d’effectuer régulièrement des paiements mensuels sur le prêt, le processus passe à l’évaluation de la valeur de l’actif offert en garantie.
Une fois la valeur de la garantie établie, le prêteur fixe le pourcentage de cette valeur comme montant le plus élevé qu’il est prêt à accorder dans le cadre du prêt ou de la marge de crédit. Par exemple, si le prêteur détermine que le taux d’avance de l’emprunteur est de 80% et que l’actif mis en gage a une valeur marchande actuelle de 1,000.000 800,000 XNUMX USD (USD), le montant maximum que le prêteur approuvera est de XNUMX XNUMX USD.
L’application d’un taux d’avance est dans l’intérêt des deux parties. Pour le prêteur, ce processus contribue à augmenter les chances de rentabiliser son investissement dans l’emprunteur, même si le prêt finit par tomber en défaut. Dans le même temps, l’emprunteur a l’avantage de recevoir des taux d’intérêt plus compétitifs que ce qui serait possible avec un prêt non garanti, et risque moins de trop étendre ses finances, en supposant que l’emprunteur a fait preuve de diligence dans le calcul du taux d’avance. Avec l’utilisation du taux d’avance comme base de l’activité de prêt, la possibilité pour les deux parties de recevoir ce qu’elles veulent de la relation d’affaires est considérablement accrue.