Quels sont les différents types de pénalités pour vol sur Internet ?

Seuls quelques pays, tels que les États-Unis et l’Australie, imposent des pénalités spécifiques pour le vol sur Internet en cas d’usurpation d’identité. Les différents types de pénalités pour vol sur Internet comprennent l’incarcération, les amendes pécuniaires et le dédommagement à la ou aux victimes. Ces crimes peuvent varier selon la juridiction et peuvent être aussi mineurs que des délits ou aussi graves que des crimes.

Aux États-Unis, les sanctions pour vol sur Internet pour des infractions telles que le vol d’identité, la fraude d’identité et les escroqueries par vol d’identité relèvent de deux catégories générales : les sanctions fédérales et les sanctions étatiques. Les sanctions fédérales sont uniformes pour diverses infractions à ces lois, mais les sanctions étatiques varient. L’US Identity Theft Protection Act de 2004 prévoyait des sanctions plus sévères pour les personnes reconnues coupables d’usurpation d’identité ou de fraude. En vertu de la loi, les peines maximales de vol sur Internet sont passées de trois à cinq ans de prison fédérale, et certaines infractions sont passées de délits à crimes.

La loi a ajouté des améliorations pour les escroqueries par hameçonnage et le vol d’identité aggravé. Si un criminel utilisait des données personnelles volées pour commettre un autre crime, comme une fraude à l’immigration, une peine d’emprisonnement pourrait être ajoutée, car le crime est considéré comme un vol d’identité aggravé. De plus, tout acte terroriste résultant d’un vol d’identité pourrait être passible d’une peine pouvant aller jusqu’à 25 ans de prison, voire plus.

Les lois de chaque État américain et les sanctions contre le vol sur Internet vont des délits aux crimes. Les sanctions pour les violations graves de la loi varient mais peuvent inclure des amendes de 100,000 10 dollars américains ou plus et une peine d’emprisonnement de XNUMX ans ou plus. Une prémisse de base de l’usurpation d’identité dans tous les États exige la restitution de toute perte subie par la victime. Les contrevenants peuvent être jugés par des tribunaux d’État ou fédéraux, selon les circonstances du crime.

En vertu de sa loi anti-spam, l’Australie impose également des sanctions en cas de vol sur Internet. Les contrevenants peuvent être emprisonnés, condamnés à une amende ou les deux. En 2010, le Canada examinait un projet de loi visant à fournir une protection contre le vol d’identité à ses citoyens, et aucune loi de ce type n’existait en Europe, en Chine, au Japon ou dans d’autres pays industrialisés. L’absence de sanctions internationales contre le vol sur Internet entrave les enquêteurs qui recherchent des informations sur les crimes sur Internet commis dans des pays étrangers. Les cybercriminels trouvent souvent refuge contre les poursuites dans les pays qui ne prévoient pas de sanctions pour le vol sur Internet.

Plus de cas d’usurpation d’identité se produisent aux États-Unis, où les informations personnelles sont facilement accessibles via des bases de données publiques et privées, que partout ailleurs. Plusieurs réseaux organisés d’usurpation d’identité qui s’attaquent aux victimes, en particulier les personnes âgées, ont été identifiés dans le monde. À mesure que les informations confidentielles deviennent de plus en plus courantes sur les sites de réseaux sociaux, via les services bancaires en ligne et les achats sur Internet, le nombre de ces délits est susceptible d’augmenter.