Le trouble de stress post-traumatique (TSPT) est une maladie mentale reconnue qui peut affecter des personnes de n’importe quelle région ou de n’importe quel milieu. Plusieurs interventions thérapeutiques ont tenté de traiter ce problème, y compris la thérapie d’exposition. Cette approche est un processus scientifiquement validé et relativement simple, et elle est souvent d’une valeur inestimable pour aider les individus à vaincre des peurs accablantes. Cependant, le manque d’analyse de conseil est une préoccupation valable concernant la thérapie d’exposition PTSD. L’utilisation de techniques de rappel de mémoire qui pourraient provoquer un échec représente également un inconvénient potentiel.
Les organisations psychiatriques ont détaillé les principaux signes du TSPT. Les symptômes se manifestent à la suite d’un événement traumatisant ou d’une série d’événements traumatisants. Les racines communes du TSPT comprennent les combats en temps de guerre, le fait d’être témoin d’un crime violent et les agressions physiques ou sexuelles. Ces expériences favorisent un état émotionnel dans lequel des flashbacks intenses de l’événement se produisent, provoquant une escalade des réponses émotionnelles. L’individu est également plus fortement sensibilisé aux stimuli normaux.
La peur est une émotion directrice des personnes atteintes du SSPT, et ces peurs peuvent conduire à éviter certaines situations. L’évitement peut aller du refus de visiter le lieu où l’événement s’est produit à l’individu se retirant de ses activités professionnelles ou sociales. Thérapie d’exposition Le TSPT peut affronter directement le problème de l’évitement.
La confrontation est en fait le principe de base de la thérapie d’exposition. Cette intervention est une approche comportementale visant à changer le comportement de l’individu et, en fin de compte, ses pensées sur le comportement. Dans le cas du SSPT, un thérapeute peut accompagner un témoin d’un crime sur les lieux du crime, par exemple. Si une personne a évité les relations amoureuses à cause d’une agression sexuelle, le thérapeute pourrait encourager les rencontres occasionnelles. Ainsi, l’un des principaux avantages de la thérapie d’exposition TSPT est son utilité pour aider les individus à surmonter leurs peurs : des peurs qui alimentent l’emprise émotionnelle du TSPT.
La thérapie d’exposition PTSD est une approche à la fois rationalisée et efficace, selon les défenseurs. Affronter une peur est une tâche simple physiquement sinon nécessairement émotionnellement. Les thérapies comportementales comme la thérapie d’exposition ont donc tendance à prendre moins de temps et de ressources que les approches analytiques basées sur la conversation plus complexes. Les preuves scientifiques suggèrent que les thérapies produisent également des résultats valides. La thérapie par exposition a été utilisée comme traitement efficace des phobies, des troubles obsessionnels compulsifs et d’un large éventail d’autres affections en plus du SSPT.
La simplicité apparente du processus, cependant, peut être l’un de ses principaux inconvénients. Les personnes qui ont vécu un traumatisme ont généralement une gamme de pensées et d’émotions complexes. Parler de ces problèmes peut être un exutoire cathartique nécessaire qui est largement absent dans de nombreuses formes de thérapie d’exposition TSPT. Ce problème peut être atténué par des approches cognitivo-comportementales combinées, qui cherchent à fusionner l’aspect comportemental de la thérapie avec des techniques qui permettent à un individu d’évaluer et de réévaluer les pensées et les sentiments négatifs.
L’exposition imaginaire est un autre aspect potentiellement indésirable de la thérapie d’exposition pour le TSPT. Cela implique de revivre et de rejouer des pensées et des souvenirs redoutés dans l’esprit d’un individu. Certains critiques peuvent soutenir que cette composante de la thérapie d’exposition ressemble trop aux flashbacks réalistes qui paralysent émotionnellement de nombreux patients atteints de SSPT. Forcer un soldat traumatisé à revivre des scènes de mort et de mutilation, par exemple, pourrait faire plus de mal que de bien.
Un thérapeute spécialement formé à la thérapie d’exposition peut contrer certains de ces effets négatifs. Les techniques d’exposition par inondation qui exposent le patient à des stimuli redoutés pendant de longues périodes ininterrompues peuvent être remplacées par une approche de désensibilisation systématisée qui travaille progressivement le patient jusqu’à une exposition intense. De plus, un thérapeute qualifié peut guider le patient dans les techniques de relaxation pré-session qui pourraient aider à soulager l’état d’esprit.