Le gyrus parahippocampique est une région importante et active du système limbique du cerveau. Sa fonction principale implique la création de mémoire et le rappel de scènes visuelles. La reconnaissance de certains indices de communication peut servir d’autre fonction. Le nom de la structure dérive de sa proximité avec l’hippocampe. Les anomalies peuvent indiquer des conditions sous-jacentes comme la schizophrénie, la maladie d’Alzheimer et la sclérose de l’hippocampe.
La composition de cette région est assez basique. Il comprend une région antérieure et postérieure. Les cortex entorhinal et périhinal constituent la partie frontale. Lorsqu’il est combiné avec des parties d’une structure voisine appelée gyrus fusiforme, toute la région est appelée cortex parahippocampique. De plus, la structure repose à l’intérieur d’une région latérale du cerveau du cerveau connue sous le nom de lobe temporal, dont la principale caractéristique est l’hippocampe, une partie du cerveau traitant principalement de la mémoire à court et à long terme.
La mémoire joue également un rôle important dans le gyrus parahippocampique, et la reconnaissance des scènes constitue la fonction liée à la mémoire la plus répandue. Les scènes incluent des repères visuels comme des paysages ou des compositions de pièces. Les chercheurs pensent qu’il existe un lien entre cette structure et la reconnaissance de scène, car cette partie du cerveau montre une activité élevée lorsqu’elle est exposée à ces types d’images. De plus, les individus ayant subi des dommages dans cette zone démontrent une diminution marquée de la compréhension et de la compréhension des scènes collectives.
Des parties du gyrus parahippocampique peuvent même équiper les individus d’outils de communication précieux. Tout comme la structure aide à identifier les arrière-plans dans les repères visuels, elle peut également fournir des informations de base pour les communications verbales. Des indices verbaux subtils comme le sarcasme ou les inflexions peuvent être traités et stockés par le gyrus droit.
De nombreux chercheurs ont lié des structures cérébrales anormales à diverses affections, en particulier les maladies mentales. Dans le cas du gyrus parahippocampique, des altérations de l’épaisseur, du volume et de la symétrie apparaissent souvent chez les personnes diagnostiquées avec la schizophrénie. De nombreuses formes de cette condition présentent une incapacité à reconnaître la réalité. L’une des fonctions principales de la structure est en effet de former des associations et de donner un sens cohérent aux différents stimuli qui pénètrent dans son cerveau.
D’autres affections éventuellement liées à la structure endommagée du lobe temporal comprennent la maladie d’Alzheimer et la sclérose de l’hippocampe. L’une des caractéristiques de la maladie d’Alzheimer est l’altération de la mémoire, qui fournit une corrélation avec les anomalies observées dans le gyrus parahippocampique axé sur la mémoire. Les personnes atteintes de la maladie progressive ont également des difficultés à détecter une autre fonction proposée du gyrus : le sarcasme.
Lorsque l’hippocampe et les structures voisines comme le gyrus parahippocampique commencent à s’atrophier et à perdre leur fonction, une sclérose hippocampique peut en résulter. Les convulsions sont l’un des principaux symptômes de la maladie. Cette condition peut également endommager lentement ou même détruire les cellules nerveuses et cérébrales.