Le nombre de pollens est un nombre qui indique la quantité d’allergènes présents dans l’air par mètre cube d’air. Ces chiffres sont compilés par des bénévoles dans des institutions telles que des universités, des centres médicaux, des centres de recherche et des cliniques, et constituent une partie importante des prévisions météorologiques depuis le début du 20e siècle. Plus le nombre de pollens est élevé, plus les personnes allergiques ressentiront leurs symptômes.
Les organismes bénévoles prélèvent des échantillons d’air sur des surfaces claires et collantes. L’échantillon est examiné au microscope, et chaque grain de pollen est compté et identifié. Le comptage pollinique comprend tous les allergènes possibles dans l’air au cours des dernières 24 à 72 heures. Sur la base de ces chiffres, des projections sont faites quant à la quantité de pollen qui sera dans l’air pendant n’importe où jusqu’aux quatre prochains jours.
Le nombre de pollens est donné sur une échelle de zéro à 12. Les pollens sont des molécules microscopiques légères et sèches ; facilement transporté par le vent, un seul type de pollen peut impacter une grande surface. En règle générale, les comptages polliniques sont donnés pour les zones à l’échelle de la ville ou du comté, car le processus est long et peut impliquer des heures de travail.
Les dispositifs d’échantillonnage d’air sont souvent placés sur les toits ou dans d’autres espaces ouverts, ce qui permet de prélever un échantillon sur une vaste zone. Il y a plus de 1,200 XNUMX plantes, arbres, fleurs et mauvaises herbes qui peuvent potentiellement provoquer des allergies, et ceux-ci sont tous mesurés dans le nombre de pollens. Le pollen dans l’air dépend de la saison, bien que les plantes apparentées puissent provoquer des réactions similaires chez les personnes sensibles. Bien que le nombre exact de pollens varie d’une année à l’autre, ceux qui les suivent apprendront à quel moment s’attendre à un pic de pollens qui a le plus d’impact sur leur santé.
Les comptages de pollen ne sont jamais exacts, et les chiffres pris dans la même ville peuvent être très différents. Les conditions météorologiques peuvent avoir un impact drastique sur les nombres, car un échantillon collecté après une tempête de pluie aura un nombre de pollen considérablement inférieur à celui pris dans la même ville avant la pluie. L’emplacement des échantillonneurs d’air peut également entraîner des lectures différentes, surtout si l’un est situé au milieu d’une zone développée et l’autre à la périphérie de la ville, près d’un parc ou à proximité de plus de végétation.