Qu’est-ce que le règlement en espèces ?

Les règlements en espèces interviennent dans le cadre des paiements relatifs aux contrats à terme et également dans le cadre du processus de règlement d’un litige. En général, un règlement en espèces consiste simplement à utiliser des espèces pour régler une sorte d’obligation en cours, remplissant ainsi les conditions de la transaction et permettant de considérer la question comme résolue ou terminée. Lors de la livraison en espèces, l’expéditeur et le destinataire impliqués dans la transaction sont libres de se concentrer sur d’autres questions.

Lorsqu’il s’agit de négocier des contrats à terme, le processus consistant à utiliser un règlement en espèces comme mode de paiement est courant. Essentiellement, un règlement en espèces sera prolongé à la date de transaction du titre plutôt qu’à la date de règlement. Cela permet au sous-jacent du titre impliqué dans la transaction de conserver l’actif sous-jacent qui a constitué la base des contrats à terme ou des options en premier lieu.

En matière de situations juridiques, un règlement en espèces est souvent ordonné à titre de dédommagement en cas de procès. D’une manière générale, le tribunal ordonnera qu’un montant fixe d’espèces ou d’actifs en espèces soit remis à l’entité qui gagne le procès dans un délai spécifié. Dans le cas où les termes du règlement en espèces ne sont pas honorés, une restitution supplémentaire peut être ordonnée, des biens peuvent être saisis pour régler la dette ou l’une des parties peut passer du temps derrière les barreaux.

Certains vendeurs proposeront également à un client un règlement en espèces afin de s’acquitter d’une dette impayée. C’est souvent le cas lorsque le client fait face à de graves problèmes financiers et envisage de faire faillite. Afin d’éviter d’être inclus en tant que créancier inscrit dans la faillite, le vendeur peut proposer au client une offre de règlement en espèces pouvant représenter jusqu’à la moitié du montant réel dû. Souvent, cela suffit pour au moins couvrir les dépenses réelles du vendeur, bien que cela élimine tout profit sur les transactions facturées.