Qu’est-ce que la parure de plumes??

Aux ?tats-Unis, Featherbedding fait r?f?rence ? une pratique syndicale d?velopp?e pour compenser le licenciement ou le licenciement de ses travailleurs en raison de technologies nouvellement acquises. La pratique peut obliger les employeurs ? utiliser des tailles d’?quipe minimales pour certaines t?ches ou ? payer pour un travail qui peut ?tre inutile. Les pratiques d?sign?es sous le nom de matelas de plumes sont g?n?ralement n?goci?es par un syndicat pour ?tre incluses dans les conventions collectives avec l’employeur.

L’int?r?t des syndicats est de garder autant de membres employ?s aux meilleurs salaires possibles. L’int?r?t des employeurs est de cr?er le meilleur produit de la mani?re la plus rentable. Avec les progr?s continus de la technologie, des tensions sur les matelas de plumes persistent. Historiquement, la r?action du gouvernement ? cette pratique ?tait d’essayer de l’interdire.

La loi Lea, adopt?e par le Congr?s en 1946, portait sur les pratiques syndicales dans l’industrie de la radiodiffusion. La loi interdisait d’obliger une soci?t? de radiodiffusion ? employer ? toute personne ou personnes d?passant le nombre n?cessaire pour fournir les services r?els ?. Un an plus tard, la loi Taft-Hartley a rendu ill?gal pour un syndicat d’exiger dans un contrat de travail que ses membres re?oivent un salaire pour le travail qu’ils n’ont pas effectu?, d?clarant qu’il s’agit d’une pratique de travail d?loyale en vertu des r?glements du minist?re du Travail.

Les deux lois ont ?t? interpr?t?es de mani?re tr?s ?troite par la Cour supr?me des ?tats-Unis. Les employeurs peuvent ?tre tenus de payer des salaires pour des t?ches inutiles ou inutiles, tant que le travail a ?t? effectu?. Dans un cas, un journal a imprim? des publicit?s que ses clients avaient pr?par?es eux-m?mes. Les termes de la convention collective entre le journal et le syndicat obligeaient le journal ? refaire les publicit?s en utilisant des travailleurs syndiqu?s. La Cour a jug? que le paiement aux imprimeurs du syndicat ?tait licite parce qu’ils faisaient leur travail, m?me si les annonces pr?par?es par les clients ont finalement ?t? plac?es dans le journal.

Les paiements aux travailleurs qui ne faisaient rien ?taient ?galement consid?r?s comme l?gaux, tant qu’ils ?taient dispos?s ? effectuer un travail qui aurait d? leur ?tre accessible. L’affaire concernait des musiciens syndiqu?s en vertu d’une convention collective avec un th??tre. Les musiciens devaient jouer chaque fois qu’un orchestre d’une autre ville devait se produire. Aucun orchestre n’a jamais ?t? r?serv? ou programm? pour jouer par le th??tre, cependant, les travailleurs avaient ?t? pr?ts ? jouer en vertu de l’accord.

La pratique du matelassage de plumes a vu le jour lorsque les syndicats ont r?sist? au d?placement de leurs membres par les nouvelles technologies. Aujourd’hui, l’inclusion de tailles minimales d’?quipes de travail et l’affectation ? des t?ches de ??faire du travail?? en l’absence de tout autre travail sont toujours consid?r?es comme des strat?gies de n?gociation collective l?gitimes, car elles maximisent les salaires et maintiennent les travailleurs en emploi. Ce n’est que la n?gociation pour ?tre pay? pour le travail qui est disponible, mais qui n’est pas fait, qui est consid?r? comme une pratique de travail d?loyale.

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