Qu’est-ce que l’humidex ?

L’humidex est une valeur qui est utilisée pour exprimer la température perçue en combinant les données de température et d’humidité en un seul nombre. L’humidex reflète les températures en degrés Celsius, car il a été développé au Canada. Les météorologues canadiens ont développé l’Humidex en réponse à un désir de trouver une formule qui pourrait exprimer plus précisément la façon dont la température ressentie, combinant les facteurs de chaleur et d’humidité.

Comme vous l’avez peut-être remarqué, lorsque le temps est humide, il fait beaucoup plus chaud. En effet, l’humidité rend difficile l’évaporation de la sueur du corps, ce qui rend plus difficile le refroidissement. La sueur accumulée peut également laisser les personnes glissantes ou collantes, ce qui augmente leur inconfort. Les résidents des zones notoirement humides doivent souvent prendre des mesures par temps chaud pour s’assurer qu’ils restent en bonne santé et à l’aise, comme l’utilisation de déshumidificateurs et de ventilateurs dans leurs maisons.

La formule utilisée pour dériver l’humidex est un peu complexe, mais elle combine essentiellement le point de rosée et la température mesurée. Un Humidex de 40, ce qui équivaudrait à 104 degrés Fahrenheit, est considéré comme « inconfortable ». Lorsque l’humidex atteint 45 (113 degrés Fahrenheit), il commence à devenir dangereux, et à 54 (presque 130 degrés Fahrenheit), le coup de chaleur est imminent. Les enregistrements dans les années 50 sont relativement rares.

En règle générale, les gens ignorent l’humidex lorsqu’il est inférieur à 30 (équivalent à 86 degrés Fahrenheit), car cette température est considérée comme sûre pour la plupart des gens. Ce n’est que lorsque l’humidex commence à ramper vers 40 que les gens peuvent commencer à s’inquiéter. Des nombres supérieurs à 45 peuvent entraîner des avertissements de température élevée, alertant les gens du danger afin qu’ils puissent ajuster leur vie en conséquence jusqu’à ce que les températures se refroidissent.

L’Humidex a fait ses débuts en 1965 au Canada et s’est depuis répandu dans d’autres régions du monde. Cette mesure utile peut être une règle empirique utile pour évaluer rapidement les conditions météorologiques afin de déterminer si elles sont ou non potentiellement dangereuses. En ne considérant que les prévisions de température, il est parfois possible de manquer des conditions météorologiques potentiellement dangereuses, ce qui pourrait entraîner divers problèmes de santé associés à des températures plus élevées.